Brittany Wenger : déjà plongée dans la lutte contre le cancer
Mai 2013 - A seulement 18 ans, Brittany Wenger vient de remporter plusieurs prix scientifiques pour une découverte prometteuse. La jeune femme a mis au point un logiciel pour diagnostiquer les personnes susceptibles de développer la leucémie myéloïde chronique (LMC). Elle a créé un programme informatique qui modélise les neurones et leurs connexions et permet de détecter la pathologie beaucoup plus rapidement que les médecins. Cette invention permettrait aussi d'avancer sur les traitements de la maladie.
Brittany Wenger n'est pas une novice. Elle avait déjà été récompensée pour avoir créé un logiciel baptisé Cloud4Cancer et qui servait à diagnostiquer le cancer du sein par ordinateur. Sans intervention chirurgicale, il est possible grâce à son invention de déterminer le degré de malignité de la tumeur. La jeune fille qui vit en Floride et se décrit comme 'très curieuse' compte bien continuer ses recherches et on risque d'entendre à nouveau parler d'elle...
A 18 ans, elle crée un dispositif pour recharger les téléphones en 20 secondes
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Concrètement, Easha Khare a inventé un 'super-condensateur flexible à haute performance', qui permet de recharger des batteries d'appareils, comme des smartphones, des tablettes, des ordinateurs portables... C'est en voyant sa propre batterie de téléphone 'toujours à plat' que la jeune femme a eu l'idée de cette invention.
10 avril 2013 - récompensé à 16 ans pour ses recherches sur le cancer
Avril 2013 - Cela faisait deux ans qu'Arjun Nair travaillait sur une thérapie novatrice, susceptible de rendre les traitements contre le cancer plus efficaces.
Mardi 9 avril 2013, cet étudiant canadien a obtenu le premier prix d'un concours organisé par Sanofi pour récompenser les jeunes chercheurs. Il a aussi reçu 5.000 dollars canadiens et un prix spécial pour le projet ayant le plus grand potentiel commercial. 'C'est le départ d'une fantastique carrière de recherche pour ce jeune homme', s'est enthousiasmé Jon Fairest, président de Sanofi Canada, après lui avoir remis son prix.
Sa grand-mère à l'origine de son travail
Sa découverte consiste à utiliser des nano-particules d'or qui, injectées au patient et chauffées, tuent les cellules cancéreuses.
Le jeune adolescent a débuté son travail après avoir appris que sa grand-mère était atteinte de la maladie. 'Elle a beaucoup souffert pendant la thérapie, donc j'ai commencé à étudier les cancers en général et j'ai lu beaucoup de choses sur les traitements', a-t-il déclaré à l'AFP. Arjun Nair a également pu utiliser les installations de deux laboratoires de l'université de Calgary et profiter de conseils de leurs dirigeants, qui l'ont aidé dans son travail.
A 17 ans, il parle 20 langues !
Avril 2013 - C'est le plus jeune hyper polyglotte du monde. Il n'a que 17 ans et parle déjà couramment 20 langues ! Timothy Doner, un étudiant américain maîtrise notamment le français, le russe, le wolof, l'indonésien ou encore le persan. Un surdoué captivant qui s'est fait connaître grâce à une vidéo de 15 minutes, sans aucun trucage, dans laquelle l'adolescent passe avec une facilité déconcertante d'une langue à une autre.
Sa première langue apprise tout seul, dans sa chambre : l'hébreu. Il n'a alors que 8 ans. 'J'ai commencé l'hébreu vraiment sérieusement parce que je voulais apprendre l'histoire d'Israël et plus généralement la politique au Moyen Orient' explique-t-il.
Il ne lui faudra que quelques semaines pour être parfaitement bilingue.
Son secret ? Du talent, bien évidemment, mais aussi beaucoup de travail.
L'ado qui voulait nettoyer les océans
Avril 2013 - Il s'appelle Boyan Slat, vit au Pays-Bas et du haut de ses 19 ans, il a un rêve gigantesque : nettoyer l'immensité des océans de ses millions de sacs en plastique.
Pour réalise cet ambitieux projet, le jeune homme a imaginé la conception d'un robot qui dirigerait les déchets grâce à la force des courants marins. Une véritable plus-value écologique par rapport aux filets qui récupèrent les plastiques mais aussi les poissons...
Autre atout pour ce robot futuriste : il fonctionnerait grâce à l'énergie des vagues et du soleil. Enfin, le jeune homme estime que les débris plastiques récupérés génèreraient plus d'argent qu'il n'en faut pour construire la plateforme de nettoyage.
Boyan Slat a présenté son projet dans le cadre de sa dernière année de lycée. Aujourd'hui, une cinquantaine d'ingénieurs travaille sur le dossier qui n'est est qu'au stade de beau rêve pour le moment : l'étude n'en est qu'au quart de sa faisabilité. Mais le jeune homme a monté plusieurs sites et cherche à lever des fonds pour continuer à étudier sa solution-miracle à la pollution des océans.
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